Station de recharge de voiture

Station de recharge de voiture

La fin des stations à gasoil, on se dirige vers des stations plutôt électriques

De nombreux véhicules électriques se trouvent déjà sur les marchés de l’automobile et des centaines de bornes de recharge ont été construites. Mais il faudra encore en construire des milliers pour répondre aux besoins croissants des consommateurs. Avec ce genre de demande, les stations de recharge de ces voiture seront également très sollicitées et feront vite partie des nouveaux business qui marchent

L’idée est de s’assurer que les gens n’hésitent pas à acheter électrique par crainte de ne pouvoir se “ravitailler”. L’essentiel est qu’ils puissent faire le plein un peu différemment.

A mesure que le nombre de véhicules électriques augmente, l’autonomie de leurs batteries augmente, il est donc fort probable que les conducteurs de ces véhicules seront de plus en plus nombreux.

L’électrique permet d’investir dans stations de recharge présente plusieurs avantages :

  Au niveau écologique : le temps de charge dans une station de recharge est réduit à moins de 6 heures (contre jusqu’à 10 heures avec une prise classique). Si vous avez des panneaux photovoltaïques, cela vous donne la possibilité d’exploiter à 100% cette énergie renouvelable pour recharger votre voiture.

Au niveau de la sécurité et de l’efficacité : les chargeurs de stations de recharge sont conçus pour délivrer une puissance supérieure à celle d’une simple prise, sans risque d’échauffement. En effet, les bornes de recharge dans les stations sont installées sur une ligne dédiée et protégée en tête d’installation par leurs propres disjoncteurs et leur propre interrupteurs différentiels 30 mA. Il n’y a donc pas, comme c’est le cas avec l’adaptateur-chargeur livré avec votre voiture électrique, de limitation artificielle de l’intensité de courant pour éviter les surchauffes. Au niveau économique : l’électricité aux stations coute mois coûte moins cher qu’aux bornes publiques ou partagées. Car elles disposent en plus de panneaux photovoltaïques, elles sont carrément gratuites !   Au niveau technique : les bornes de stations peuvent être équipées de fonctionnalités « intelligentes » intéressantes. Elles peuvent par exemple réduire automatiquement leurs puissances si d’autres gros appareils sont en service ou retarder la recharge aux heures les plus propices. Elles peuvent également gérer la transmission automatique des données de recharge via Internet ou les flux d’énergie entre le réseau électrique et l’installation électrique.

Pl@ntNet, l’application ludique pour identifier les plantes

Pl@ntNet, l’application ludique pour identifier les plantes

Vous aimez vous balader dans la nature, observer chaque fleur que vous croisez en chemin sans toutefois pouvoir les nommer ? Heureusement pour vous, l’application Pl@ntNet est là pour vous aider !

Pl@nNet, qu’est-ce que c’est ?

L’application smartphone Pl@ntNet est un outil d’identification des plantes. Comment fonctionne-t-elle ? Il vous suffit de prendre une photo de la plante que vous souhaitez identifier et l’application se chargera de reconnaître et d’identifier la plante pour vous. Avec cette application, reconnaître les plantes devient un jeu d’enfant !

Comment utiliser Pl@ntNet ?

Lorsqu’une plante attire votre attention, sortez votre smartphone et lancez l’application Pl@ntNet. Ensuite, prenez la plante en photo. L’algorithme de l’application vous proposera une sélection de plante similaire à la votre et ce sera à vous de trancher. Plus il y a de photographie d’une même espèce de plante, plus l’identification sera facile.

Il faut toutefois veiller à prendre des photos où la plante est reconnaissable. Vos talents de photographes n’apporteront aucune aide si on ne voit pas bien la fleur ou les feuilles de la plante que vous prenez en photo. Peu importe que la photo soit belle, ce qui est essentiel c’est que la plante puisse être reconnue.

Le lancement de l’application

L’idée d’une application permettant de reconnaître et d’identifier les plantes a été lancée en 2009 par des botanistes et informaticiens rattachés à plusieurs instituts de recherches français (Institut de recherche pour le développement, Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement, Institut national de la recherche agronomique, Institut national de recherche en informatique et en automatique) ainsi que le réseau Tela Botanica et la fondation Agropolis International.

Quatre années plus tard, l’application smartphone était disponible au téléchargement sur Android et IOS. Un site web qui remplit les mêmes fonctions que l’application a également était créé.

Un projet de science participative

Les scientifiques à l’initiative du projet souhaitaient permettre aux amoureux et curieux de la nature de participer à l’identification et au recensement des espèces végétales de France. Le projet c’est depuis largement répandue à travers le globe.

Avec plus de 10 millions de téléchargement à ce jour, l’application comptabilise un total de 1 794 096 photo pour un peu plus de 27 900 espèces de plantes identifiées.

Un projet qui évolue

Le projet initial a beaucoup évolué depuis sa création et dorénavant, l’application permet à plusieurs projets de science participative, 31 au total, d’amasser des informations.

Les créateurs de Pl@ntNet ont également lancé une deuxième application, Smart’Flore qui permet à ces utilisateurs de visualiser l’ensemble des espèces de plantes à fleurs de la planète et notamment celle qui se trouve à proximité, grâce à la géolocalisation.

Un site web, nommé THEPLANTGAME, a également était développé. Il vous permet de vous initier à la botanique par le jeu afin de vous apporter une meilleure connaissance du monde végétal.

Une application présente sur les réseaux sociaux

L’application Pl@ntNet possède des réseaux sociaux (Facebook, Twitter et Instagram) sur lesquels sont partagés différents contenus. Sur son compte Instagram, sont partagés les photo faite par les utilisateurs de l’application. Un véritable album est ainsi créé pour rendre hommage à ceux qui participent au projet.

Sur ses comptes Twitter et Facebook, vous pouvez retrouver toutes les informations relatives à l’actualité du projet et aux publications scientifiques qu’il a permit de réaliser.

Bagatel, le sens de l’artisanat

Bagatel, le sens de l’artisanat

Bagatel Atelier-Boutique offre une multitude de jolies cadeaux à offrir pour toute la famille. Située à Varennes dans la province de Québec, cette boutique ouverte depuis quelques années se développe pour notre plus grand bonheur.

C’est Caroline Legault, après avoir quitter son travail comme assistante dentaire, fait naître ce beau projet au centre de Varennes, une banlieue de Montréal. Tout en étant propriétaire de cette boutique, elle est aussi l’une des artisanes qui y exposent ces œuvres. Eh oui, cette boutique regroupe plusieurs artisans et artisanes afin de pouvoir proposer à la population de beaux produits de qualités, originaux et locaux. Vous aurez peut-être la chance de pouvoir rencontrer de ces artistes en boutique. On y retrouve ainsi dans sa boutique des vêtements, des bijoux, des peintures, des huiles essentielles, des savons, des serviettes hygiéniques et tout pleins d’objets plus originaux les uns que les autres. Il y est même possible de venir faire vos recharges de produits ménagers en vrac ! Il vous juste apporter votre contenant et le tour est joué. On valorise l’environnement en commençant par de simples actes coresponsables.

Oui oui, cette boutique offre plusieurs alternatives écologiques (sac de repas, sac à pain, serviettes hygiéniques,…). Il y est même possible depuis peu et avec une nouvelle entente de la ville, de se faire déduire les coûts des couches pour bébés lavables.

Cette pandémie,… un moment pour ouvrir les portes encore plus grandes

Comme bons nombres de boutique en cette année 2020 et début 2021, Bagatel a dû fermer la boutique à la clientèle et trouver un autre moyen pour satisfaire ses fidèles adeptes. En peu de temps, sa propriétaire a créé un réseau de livraison à domicile grâce à sa page Facebook Bagatel atelier-boutique, pour finalement développer en peu de temps son propre site web de vente en ligne.

Un atelier pour tout âge

Que vous soyez au primaire ou à la retraite, vous trouverez des activités intéressantes à découvrir directement à la boutique. Pour les enfants, Caroline propose un camp d’été pour que vos petits puissent passer leur vacances à faire travailler leur créativité en mettant leurs mains à la pâte ! Les places sont très convoitées alors ne tardez-pas à appeler.

Pour tous ceux qui le veulent, des ateliers de couture, de créations de savons ou encore de bijoux sont proposés toute l’année. Il suffit de vous inscrire sur la page facebook lorsqu’une nouvelle activité est proposée ou encore d’aller faire la connaissance de la propriétaire ou d’une de ces merveilleuses employées en boutique pour y écrire votre nom. Je suis allé faire un tour à l’une de ces activités de couture afin de pouvoir en donner mon appréciation. C’est un moment de bonne humeur et de rire tout en y revenant avec sa création qui pour ma part, se retrouvera dans un bas de Noël en cadeau.

Nouveauté !

Soyez tous attentifs aux diverses promotions qui fusent toute l’année sur la page Facebook de Bagatel. C’est l’occasion de s’y procurer l’un des ces produits uniques et d’encourager nos artisans durant cette période plus difficiles pour tous et chacun. La commande en ligne est priorisée mais la venue en boutique est aussi à nouveau possible. Vous pouvez aller chercher votre commande à la boutique à la suite d’ un appel en boutique.  Je vous souhaite une bonne découverte et si je peux ajouter une dernière phrase :

Venez y faire un tour, ça en vaut le détour !

Pour les rejoindre

Bagatel Atelier-Boutique
311 boulevard de la Marine
Varennes, Qc, Canada
J3X 1Z4
(514) 688-8335

Mercredi : 10h30 – 16h30
Jeudi : 10h30 – 18h00
Vendredi : 10h30 – 16h30
Samedi : 10h00 – 16h00
Dimanche : 10h30 -14h30

FridgeMe – L’application que vous remercierez tous les jours

FridgeMe – L’application que vous remercierez tous les jours

Vos journées sont épuisantes et vous êtes à court d’inspiration pour le dîner ? L’application FridgeMe est faite pour vous.

Une vue d’ensemble de votre frigo

La gestion d’un réfrigérateur doit être permanente si on veut éviter le gaspillage et stimuler notre inspiration pour les repas. Le rythme intense des journées de travail compromet parfois cette gestion.
Cela vous est-il déjà arrivé de vous retrouver face au réfrigérateur pendant quelques minutes en espérant trouver la motivation de faire à manger ? Moi OUI et très souvent d’ailleurs. Comme si la motivation allait se trouver parmi les aliments… Quand la journée a été plus que fatigante, ma dernière envie est de me prendre la tête avec le repas. Entre les aliments qui se cachent les uns derrière les autres, les dates de péremption et l’association d’aliments pour composer un réel menu, le réfrigérateur pourrait tout de même faire un effort !

L’application FridgeMe est conçue pour vous soulager dans cette tâche tout de même essentielle pour survivre.

“Manger est bon. Avoir mangé est meilleur.”

De Anatole France / Les pensées de Riquet

Des idées de menus équilibrés

Le pire dans cette histoire de dîner, c’est  »que faire et avec quoi ? ». Une question que l’on redoute dès le trajet travail-maison. La composition d’un menu cache de nombreuses responsabilités en terme de quantité et de qualité. Dans le cas d’un dîner en famille, il faut que le repas puisse satisfaire tout le monde. L’équilibre des repas a une importance considérable quant à notre santé, notre poids et notre forme. C’est pourquoi il ne faut pas négliger cette étape du  »dîner » aussi achevante soit elle. L’application FridgeMe permet de générer des menus en fonction de ce qu’il se trouve dans votre réfrigérateur. Si vous n’êtes pas satisfait, il vous suffit de relancer la recherche et l’application vous proposera alors un autre menu. Il ne vous reste plus qu’à trouver les aliments du menu proposé dans votre frigo, de les cuisiner et le tour est joué!

Fini le gaspillage !

L’atout majeur de l’application FridgeMe est de réduire un maximum le gaspillage. Préparer le dîner n’est pas ce qui nous fait le plus rêver et lorsqu’on se rend compte que certains aliments doivent être jetés car leur date de péremption est dépassée, c’est la goutte qui fait déborder le vase.
Le principe est simple : lorsque vous achetez des produits, il vous suffit d’indiquer la date de péremption et l’application proposera automatiquement des menus en fonction des dates les plus courtes afin d’éviter le plus possible le gaspillage.

Comment installer FridgeMe ?

Après avoir téléchargé l’application, le principe est simple. FridgeMe vous propose de nombreux aliments sous forme de listes et catégories. Selon vos achats, vous n’avez qu’à cocher les aliments dont vous disposez et indiquer les dates de péremption. Cette étape de date n’est pas obligatoire si vous voulez utiliser l’application uniquement pour générer des menus. Cependant, je vous conseille fortement de prendre un temps pour ces dates car la sensation de ne rien avoir à jeter est plus que satisfaisante. De plus, il est possible de renseigner le nombre de personnes à table afin d’adapter les quantités.

Exemple

L’application FridgeMe vous accompagne lors de votre repas en vous proposant des idées de menus parfois auxquels vous n’auriez jamais pensé. Lorsque l’application génère une idée de menu avec les aliments de votre réfrigérateur, des recettes et techniques de préparation sont également disponibles.

  • Salade verte
Découvrez Angell, le nouveau vélo électrique connecté français

Découvrez Angell, le nouveau vélo électrique connecté français

Vous habitez en ville et vous en avez assez des embouteillages quotidiens qui vous retardent ? Ne cherchez plus, Angell est la solution ! Angell est le nouveau vélo intelligent ou « smartbike » conçu par Marc Simoncini, le créateur de Meetic. Adapté à vos besoins et doté de technologies innovantes, il sera parfait pour tous vos déplacements urbains. Au programme : assistance électrique, interface connectée et plusieurs modes de conduite.

Angell, le vélo électrique connecté français
Angell, le nouveau « smartbike » ou vélo intelligent

Des technologies innovantes pour un design épuré

Depuis quelques années déjà, la pratique du vélo dans les grandes villes a explosé et la demande ne cesse d’augmenter. Plus simple, plus rapide et moins contraignant que les voitures, l’usage du vélo en ville permet de se rendre rapidement d’un endroit à l’autre en évitant les embouteillages. Conscient de cette demande de plus en plus grande, Marc Simoncini, créateur de la plateforme de rencontres amoureuses Meetic, a décidé d’y apporter une réponse en concevant Angell, un vélo intelligent et connecté.

Angell dispose de technologies de pointe pour assurer le confort et la sécurité de ses usagers. Il est doté de clignotants et d’un écran tactile capable d’afficher un grand nombre d’informations telles que la vitesse, les calories, la météo et il dispose même d’un GPS intégré. Son guidon également innovant est pourvu de vibreurs internes permettant d’indiquer la direction à suivre. D’autres technologies sont également présentes mais elles ne nuisent jamais au design sobre et épuré du vélo intelligent, design qui se rapproche de celui d’Apple.

D’excellentes performances pour une résistance à toute épreuve

Angell est un vélo à assistance électrique. Cette assistance électrique peut être réglée selon quatre niveaux qui vont modifier sa puissance et sa vitesse, mais qui vont aussi agir sur son autonomie.

Le premier niveau est le Fly Eco, pour prendre son temps. C’est le mode avec la plus haute autonomie (90 km) pour une vitesse moyenne de 19 km/h. Le Fly Dry est le niveau classique, c’est-à-dire une autonomie d’environ 70 km et une vitesse moyenne de 22 km/h. Quant au Fly Fast, il permet de se rendre rapidement d’un endroit à l’autre pour une vitesse moyenne de 25 km/h et une autonomie de 50 km. Enfin, le dernier niveau, Fly Free, est comparable à un vélo classique, c’est-à-dire sans assistance électrique. Angell peut également adapter lui-même sa vitesse selon le niveau de la pente à affronter. 

Ces excellentes performances n’entachent en rien la résistance à toute épreuve d’Angell. En effet, sa fourche en carbone et son poids léger conviendront à la plupart des personnes.

Plusieurs modes de conduite

Le vélo intelligent Angell est également doté de trois modes de conduite, à choisir selon vos besoins. Ces trois modes sont :

  • navigation ;
  • sport ;
  • free ride.

Le mode navigation fonctionne comme un GPS. Il suffit d’indiquer au vélo où vous souhaitez aller et l’écran intégré ainsi que les vibreurs présents dans le guidon vous guideront jusqu’à votre destination. Cela permet d’assurer au maximum la sécurité des usagers. Avec le mode sport, on indique à Angell quels sont nos objectifs (nombre de calories brûlées, temps à battre, etc) et il nous prévient une fois qu’on les atteint. Enfin, le mode free ride est conseillé à ceux qui connaissent déjà le trajet. Il vous fournira des informations utiles telles que votre vitesse ou votre niveau de batterie.

Adoptez Angell !

Si vous souhaitez faire l’acquisition de ce vélo intelligent et connecté, sachez qu’il est proposé au prix de 2860€. Vous pouvez également ajouter des accessoires comme une béquille ou des rétroviseurs pour des prix allant de 19€ à 119€ selon les accessoires. Angell existe en deux coloris : silver ou black. Il est aussi possible de payer en 12 fois sans frais supplémentaires. Rendez-vous sur le site d’Angell !

Une poubelle à la mer ! Seabin, une solution pour des océans plus propres

Une poubelle à la mer ! Seabin, une solution pour des océans plus propres

Mais dis-moi, c’est quoi The Seabin Project ?

The Seabin Project

Le Seabin provient de The Seabin Project. Comme son nom l’indique, c’est une poubelle (surprenant, je sais). C’est un collecteur de déchets flottants à la surface et agit sur les espaces portuaires. Comme le précise l’image ci-dessus, seabin est 100% recyclable. Un point important pour un véritable aspirateur à déchet !

Comment est-ce que cela marche ?

Pour faire simple, cette poubelle flottante, immergée dans l’eau, aspire (d’où l’image de l’aspirateur avant) et regroupe toutes ses prises au sein d’un sac et les emprisonnes à jamais loin de nos mers et nos océans. Ensuite, il suffit juste de récupérer le sac plein de déchets pour les éliminer comme il se doit, ou les recycler si cela s’avère possible. Après tout, nous sommes là pour le bien de la planète et l’écosystème non ? À  cela s’ajoute sa capacité à pouvoir absorber certains liquides comme de l’huile de moteur. Un nettoyage de fond en comble de nos espaces portuaires.

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Pour plus de détails, c’est ici que ça se passe pour comprendre le Seabin.

D’où est-ce que cela vient ?

Cette innovation en matière de protection des océans nous vient d’Australie ! C’est Andrew Turton et Pete Ceglinksi qui sont à l’origine de cette bonne idée de poubelle pour les océans. Les deux surfeurs australiens (oui, c’est cliché) sont à l’origine du produit, mais la France en fait aussi partie !

Cocorico, nous sauvons les eaux !

En effet, il est important d’avoir l’idée, le concept, de savoir comment la faire, mais elle ne va pas se faire toute seule cette poubelle de mer. Pour mener à bien ce projet, ils ont conclut un contrat d’exclusivité mondiale en 2016. Ce dernier lie The Seabin Project et Poralu Marine, une entreprise française qui construit des ports. Ce partenariat les lie par rapport au développement, la fabrication et la distribution mondiale de Seabin. En d’autres termes, Poralu Marine assure la partie commerciale et production du Seabin Project.

Au fond, avons-nous vraiment besoin du Seabin ?

Selon Ocean campus :

« Les déchets plastique sont de plus en plus nombreux dans nos océans . Chaque
année, 8 millions de tonnes de déchets plastique arrivent de l’intérieur des terres vers l’océan . Le plastique peut représenter à certains endroits du globe jusqu’à 95 % des déchets marins .
Cette omniprésence du plastique dans les océans est due à une production industrielle qui ne cesse d’augmenter. Ainsi, en 1950, la production mondiale était de 1,5 million de tonnes contre 322 millions de tonnes en 2015
La « mer de plastique » dans l’océan Pacifique

Cette image n’est pas un fake, elle est réelle, alors oui nous en avons besoin. Ceci est une image de la mer de plastique dans l’océan Pacifique. L’information sympa ? Cette terre artificielle représente, en taille, ni plus ni moins que la France, la Belgique et la Suisse réunies. C’est pas mal.

The Seabin Project représente un premier espoir pour nos mers et océans, si nous pouvons dès aujourd’hui nettoyé l’eau de nos ports, alors demain nous pourrons voir plus grand.

Ton Seabin, ça marche vraiment ?

On peut déjà donner un grand oui ! Aujourd’hui, notre poubelle flottante des mers préférées fait déjà un bon travail. Chacune d’entre elle peut attraper un nombre de déchets conséquent. Chaque année : 90 000 sacs plastiques, 37 500 gobelets ou tasses en plastique, 16 500 bouteilles, et environ 166 500 autres types de petits objets en plastique.

Oui, en terme de récupération des déchets, ce projet à de l’appétit.

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Les chiffres en images (quand je vous dis que cette poubelle à faim) !

Comment est-ce que je peux participer au Seabin Project ?

Vous voulez aider à nettoyer les mers et les océans ? Vous souhaitez vous débarrasser de toute cette pollution ? Alors la solution est simple !

Ce projet est toujours en développement et à moins que vous soyez le représentant d’un pays et que vous signez un contrat avec eux (je suis honoré si c’est le cas), vous pouvez toujours faire une donation sur leur site : https://seabinproject.com/product/donations/

Bien entendu, sans même participer à ce projet, faire attention à où et comment on jette nos déchets est déjà un geste très important.

Au revoir déchets des mers, au revoir plastique non-souhaité et bonjour à toi Seabin, la poubelle qui renvoie tout ce monde là où il se doit.

Jérémy Niederhoffer